Ministère
de la Culture
POP | Plateforme ouverte du patrimoinestatue funéraire (orant) du cardinal de Bérulle
statue funéraire (orant) du cardinal de Bérulle
Référence de la notice
PM77000883
Nom de la base
Patrimoine mobilier (Palissy)
Producteur
Monuments historiques
Date de création de la notice
2 février 1994
Date de dernière modification de la notice
27 juin 2024
Mentions légales
© Monuments historiques, 1994
Désignation
Titre figurant dans l'arrêté ou l'étude
statue funéraire (orant) du cardinal de Bérulle
Appellation d'usage
du cardinal de Bérulle
Producteur
Monuments historiques
Dénomination de l'objet
statue
Précision sur la typologie de l'objet
statue funéraire
Localisation au moment de la protection ou de l'étude
Localisation
Île-de-France ; Seine-et-Marne (77) ; Juilly ; collège des Oratoriens
Canton
Dammartin-en-Goële
Code INSEE de la commune
77241
Emplacement de l'œuvre dans l'édifice
chapelle
Description
Domaine
Sculpture
Catégorie technique
sculpture ; marbrerie
Matériaux et techniques d'intervention
marbre
Description matérielle
Ce monument renferme la main et de bras droit du cardinal.
Dimensions normalisées (en cm)
Dimensions non prises.
État de conservation
oeuvre restaurée
Précision sur l'état de conservation
Oeuvre restaurée en 1988 par l'atelier ERPA (Sens).
Historique
Siècle de création (partie de siècle ou époque)
Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet
Description historique
Le cardinal de Bérulle introduira en France l'ordre des Carmélites. Sa dépouille mortelle sera répartie entre trois sépultures construites. Le tombeau du corps, oeuvre de Michel Anguier, sera construit dans l'église de l'Oratoire. Il n'en subsiste qu'un buste conservé dans l'église Saint-Eustache. Le monument du bras droit trouvera sa place au collège des Oratoriens de Juilly. Cette oeuvre y fut déposée en 1803, elle provennait du dépôt revolutuionnaire des Petits Augustins à Paris (Courajod et Inventaire général). Le cénotaphe du coeur exposé au Louvre a été commandé le 26 novembre 1653 par Edouard le Camus, ancien procureur à la Cour des aides, pour la chapelle Sainte-Madeleine du grand couvent des Carmélites, rue d'Enfer (actuelle rue Saint-Jacques) à Paris, ce cénothaphe a été attribué au Louvre en 1906. Le sculpteur Jacques Sarrazin (1592-1660) est l'un des cofondateurs de l'Académie royale de peinture et de sculpture (1948) qu'il va diriger de 1654 à 1660.
Statut juridique et protection
Statut juridique du propriétaire
propriété privée
Typologie de la protection
classé au titre objet
Date et typologie de la protection
1935/01/29 : classé au titre objet
Références documentaires
Cadre de l'étude
Type de dossier
dossier individuel
Sources complémentaires
Exposition
Musée du Luxembourg, Trésors sacrés, trésors cachés de Seine-et-Marne, 1988.
Photographies liées au dossier de protection
ARCH. PHOT. (MH95160)
Référence de la notice
PM77000883
Nom de la base
Patrimoine mobilier (Palissy)
Producteur
Monuments historiques
Date de création de la notice
2 février 1994
Date de dernière modification de la notice
27 juin 2024
Mentions légales
© Monuments historiques, 1994
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