Paramètres d'affichage

calice

Monuments historiques

calice

Nouvelle-Aquitaine ; Creuse (23) ; Gouzon ; église paroissiale Saint-Martin

en village

Gouzon

23093

Anciennement région de : Limousin

sacristie

volé

Oeuvre volée entre le 14 et le 20/07/2025. Dépôt de plainte le 21/07/2025 par auprès de la gendarmerie de Gouzon (PV n°14385/00501/2025). Treima, n°affaire : 59139 ; n°objet : 119787.

Orfèvrerie et autres objets en métal

orfèvrerie

argent : repoussé, ciselé, estampage, découpé

Absence de fausse coupe.

calvaire, feuille d'eau, feuille d'acanthe, fleurette

Le calice porte un décor végétal : feuilles d'eau et d'acanthe. Fleurettes sur le noeud. Calvaire sur le pied.

h = 25,5 ; d = 14,5

2006

poinçon de maître ; lettre-date ; poinçon de charge ; contremarque (?)

Poinçon de charge des gros ouvrages de Lyon de 1703 à 1718 et lettre-date X de février 1713 à février 1714 insculpés sous le pied. Poinçon de maître insculpé sous le pied, sur le noeud et deux fois au bord de la coupe : ILF couronné entre deux grains de remède. Poinçon non identifié de façon certaine (contremarque ?), utilisé à Lyon à partir de 1672, insculpé au bord de la coupe : fleur de lys.

1713 ; 1714

lieu d'exécution : Rhône-Alpes, 69, Lyon

Calice réalisé à Lyon entre février 1713 et février 1714. Le poinçon de maître pourrait être un deuxième poinçon de l'orfèvre Jacques Lefèvre, actif de 1681 à 1741.

propriété de la commune

classé au titre objet

060

2007/08/06 : classé au titre objet

Arrêté : un calice, argent doré, repoussé, ciselé, Jacques Le Fèvre, orfèvre à Lyon, 1713-1714, de l'église de Gouzon (Creuse).

oeuvre volée

dossier individuel

2006

Marie-Reine Jaze-Charvolin, courriel du 28 novembre 2006 : La lettre-date [est] bien [celle de février 1713 à février 1714]. Sur le pied, elle est accompagnée du poinçon de charge gros ouvrages en usage de 1703 à 1718 et d'un poinçon de maître. Ce poinçon de maître bizarrement insculpé en plein milieu du noeud, se retrouve deux fois sur la coupe : je lis I L F. Si c'est ce que vous avez lu, ce pourrait être un deuxième poinçon de l'orfèvre Jacques Lefèvre, présent à Lyon de 1681 à 1741. Nous avions identifié ces mêmes initiales avec une fleur (non présente sur votre poinçon), mais plusieurs orfèvres avaient à la fois un poinçon avec symbole et un poinçon avec simplement des points. Nous n'avions jamais rencontré ce poinçon, mais la longue période d'activité de cet orfèvre pourrait conforter l'idée de deux poinçons différents. Quant à la fleur de lys, que nous avons déjà trouvées sur plusieurs pièces étudiées, je n'ai pas pu la placer dans mon tableau (p. 83). Gisèle Godefroy pensait qu'il pouvait s'agir d'un 'poinçon de charge pour les menus ouvrages susceptible de convenir à plusieurs fermiers'. Elle est effectivement insculpée sur des ouvrages à partir de 1672. Il pourrait s'agir d'une contremarque, mais c'est une hypothèse.

'L'orfèvrerie de Lyon et de Trévoux du XVe au XXe siècle'. Paris : Editions du patrimoine, 2000. Collection Cahiers du patrimoine, n° 58, p. 84, 86, 88, 390.

SRI (06230065XA, 06230056X, 06230057X, 06230058X)