verrière de style néo-gothique : la Crucifixion (baie 0)
Désignation
Dénomination de l'objet
Verrière
Précision sur la typologie de l'objet - hors lexique
Verrière figurée décorative
Appelation d'usage
Style néo-gothique
Titre courant
Verrière de style néo-gothique : la Crucifixion (baie 0)
Localisation
Localisation
Hauts-de-France ; Nord (59) ; Lille ; rue de Paris ; église paroissiale Saint-Maurice
Numéro INSEE de la commune
59350
Aire d'étude pour le domaine Inventaire
Lille centre
Canton
Lille est
Adresse de l'édifice
Paris (rue de)
Nom de l'édifice
Église paroissiale Saint-Maurice
Référence Mérimée de l'édifice
IA59001049
Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire
En ville
Emplacement de l’œuvre dans l’édifice
Déambulatoire ; chapelle axiale (baie 0)
Description
Catégorie technique
Vitrail
Structure et typologie
Jour de réseau ; lancettes (3, en arc brisé) ; panneaux vitrés (36)
Matériaux et techniques d'interventions
Verre transparent : peint, grisaille ; plomb
Description matérielle
Réseau en calcaire comprenant trois lancettes en arc brisé, un soufflet, quatre mouchettes et quatre écoinçons ; verrière composée de 36 panneaux ; mélange de verre transparent polychrome et peint en grisaille.
Indexation iconographique normalisée
Crucifixion, Christ en croix, Les larrons, Vierge, saint Jean l'Evangéliste, sainte Marie-Madeleine, soleil, lune, vue d'architecture : porte de ville, rempart, le Temple, tours, ornementation
Dimensions normalisées
Dimensions non prises.
État de conservation (normalisé)
Plombs de casse
Précisions sur l'état de conservation
Manque au niveau du soleil.
Inscription
Inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin)
Précisions sur l'inscription
Inscription portée au bas de l'oeuvre : 'passus pro n[o]b[i]s mortuus sanati sum[m]us'.
Ce vitrail a été réalisé par Charles Gaudelet (1817-1880), peintre verrier lillois, d'après les cartons de Victor Mottez (1809-1897), peintre lillois. Il a été commandé par le doyen Leconte curé de l'église en mai 1858, exécuté en 1859 et posé l'année suivante. Le carton de ce vitrail, terminé en avril 1859, est conservé au musée des Beaux-Arts de Lille.