Usine de construction aéronautique
Usine de moteurs d'avions
Société des Moteurs Gnome, puis Société des Moteurs Gnome et Rhône, actuellement SNECMA (Société Nationale d'Etudes et de Construction de Moteurs d'Aviation)
Usine de construction aéronautique (usine de moteurs d'avions) dite Société des moteurs Gnome, puis Société des moteurs Gnome et Rhône, actuellement SNECMA (Société Nationale d'Etudes et de Construction de Moteurs d'Aviation)
Île-de-France ; Hauts-de-Seine (92) ; Gennevilliers ; 291 avenue d'Argenteuil
Gennevilliers
Argenteuil (avenue d') 291
1990 A 3, 12, 13, 16, 17, 19, 20, 23, 26, 27
En ville
Seine (la)
Grosse forge ; rue ; voie ferrée ; laboratoire ; bureau d'entreprise ; local du comité d'entreprise ; atelier de fabrication ; transformateur (abri)
4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
1895 ; 1916 ; 1951
Daté par source ; daté par travaux historiques
Attribution par source
En 1895, Louis Seguin crée un petit atelier au Petit-Gennevilliers où il fabrique des moteurs à pétrole à usage industriel, notamment un moteur monocylindre construit sous licence Gnome de la firme allemande Oberursel Motoren. En 1905, Louis Seguin fonde avec son frère Laurent la Société des moteurs Gnome : mise au point du moteur rotatif. En 1915, il absorbe la Société des moteurs Le Rhône et devient la Société des moteurs Gnome et Rhône jusqu'en 1945 où elle prend le nom de Société Nationale d'Etude et de Construction de Moteurs d'Aviation. Au cours des années 1930 et 1940, la société fabrique également des motos. Les premières constructions importantes : forges fonderies de bronze et 2e fusion atelier J, au lieu-dit : l'Ile-au-Drap sont effectués par l'architecte André Granet en 1916. Agrandissement en 1920 (ateliers d'emboutissage forgeage dépôt de liquide inflammable fonderie de métaux autres que le plomb) constructions d'ateliers d'essais en 1928. Destruction d'une grande partie de l'usine au cours des bombardements de 1942. Reconstruction entre 1945 et 1948. Reconstructions en 1951 et 1952 par Auguste Perret : ateliers de fonderie d'aluminium, sous-station électrique (transformateur) bâtiment administratif. En 1972 : 1381 employés dont 1228 hommes et 153 femmes.
Brique ; pan de fer ; béton ; verre
Tuile mécanique ; verre en couverture ; matériau synthétique en couverture
Élévation à travées
Terrasse ; toit à longs pans ; lanterneau ; shed
Énergie thermique ; produite sur place ; énergie électrique ; achetée
Site industriel desservi par une voie navigable ; bâtiments d'Auguste Perret en structure de béton à remplissage de brique enduite, charpente métallique et tuile mécanique ; bâtiment administratif avec travées en pavés de verre et couvert en terrasse. Surface du site en m2 : 142000
IM92001572 ; IM92001574 ; IM92001573 ; IM92001570 ; IM92001571 ; IM92001567 ; IM92001568 ; IM92001569
Machine de production
Propriété privée
1994
© Inventaire général
1995
Jantzen Hélène
Dossier individuel
Patrimoine industriel
Conseil régional d'Ile-De-France - Service de l'Inventaire général du patrimoine culturel 115, rue du Bac 75007 Paris - 01.53.85.59.93