Séchoir
Séchoirs à tabac
Séchoirs à tabac
Nouvelle-Aquitaine ; Lot-et-Garonne (47)
Damazan
47 repérés ; 2 étudiés
2e moitié 19e siècle ; 1ère moitié 20e siècle
Les premières mentions de culture de tabac datent du 17e siècle sur la commune de Saint-Léger. Le tabac était séché sous le hangar ou balet devant la ferme, attaché à des bâtons disposés sur les pièces de charpente. Les bâtiments indépendants servant de séchoirs à tabac ont été construits dans la 2e moitié du 19e et dans la 1ère moitié du 20e siècle, constructions favorisées par des primes vers le milieu du 19e siècle, selon A. Paraillous. Les séchoirs sont très largement représentés sur les communes de la vallée de la Garonne, où le tabac fut la principale culture durant cette période ; sur les coteaux et dans les landes, ils sont moins nombreux, mais ont les mêmes caractéristiques architecturales. Les plus anciens sont entièrement en bois ; les plus récents sont en brique creuse, avec abattants en bois ou en métal.
Bois ; brique ; ciment
Tuile creuse ; tuile mécanique ; tôle ondulée
1 vaisseau
Appentis ; toit à longs pans ; pignon couvert
Bâtiments rectangulaires à un vaisseau, divisés par des barres et des fils où est attaché le tabac. Les ouvertures sont ménagées sur toute la hauteur et ferment par des abattants en bois ou en métal qui permettent d'adapter la ventilation.
1994 ; 1997 ; 1998
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
1998
Beschi Alain ; Mousset Hélène ; Mansir Delphine
Dossier collectif
Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37