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Plateforme ouverte du patrimoine

La lunetterie dans le Jura

Désignation

Titre courant

La lunetterie dans le Jura

Localisation

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Jura

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

19e siècle ; 20e siècle ; 1er quart 21e siècle

Description historique

S’épanouissant au 19e siècle dans la région de Morez, la lunetterie est une industrie de montagne - donc de main-d’œuvre - qui utilise une matière première bon marché et un outillage réduit pour réaliser des produits légers mais à forte valeur ajoutée. Une industrie rurale issue de la clouterie La lunetterie est fille de la clouterie, autrefois très présente à Morez et dans ses alentours. En effet en 1796, Pierre-Hyacinthe Caseaux (1744-1814) se sert de la matière première disponible dans sa pointerie des Rivières (commune de Prémanon) pour fabriquer ses premières montures de lunettes en fil de fer. Son établissement est alors en France le seul pour ce type de produit, avec une concurrence essentiellement anglaise. Caseaux expédie à l’exposition nationale de 1806 « 4 montures de lunettes ou de conserves [lunettes de vue destinées aux presbytes] à simples & doubles branches à charnières, à boutons & à ponts ». Il fait des émules et au début de la décennie 1810 son filleul, Pierre-Hyacinthe Lamy (1789-1855), ouvre un atelier aux Arcets (hameau voisin des Rivières) tandis qu’un autre Lamy, Louis-Félix, fonde en ville sa société (à l’origine du groupe L’Amy). Pierre-Hyacinthe s’impose rapidement par son dynamisme : il crée en 1819 un bureau commercial à Morez, trouvant ses débouchés à la foire de Beaucaire, puis il industrialise vers 1835 la fabrication des montures dans l’usine de l’Abbaye (rue Emile Zola). Il y débute en 1842 la réalisation des lunettes entières : montures et verres correcteurs (à Morez, le travail du verre se limitera toujours aux seules pratiques du surfaçage et de la découpe de forme). Le déclin de l’horlogerie à partir du milieu du 19e siècle favorise l’essor de la lunetterie qui en réutilise les réseaux de diffusion, puis les ateliers et la main-d’œuvre. Morez centralise la commercialisation des lunettes et pince-nez (qui apparaissent vers 1840), dans un premier temps par l’entremise des établisseurs horlogers. C’est ainsi que Pierre-Hyacinthe Lamy s’était associé en 1828 avec le marchand horloger Pierre-Cyprien Lacroix au sein de la société Lamy et Lacroix, employant 500 personnes en 1857 (300 pour l’horlogerie et 200 pour la lunetterie). L'entreprise, dirigée en 1855 par son fils Aimé Lamy (1819-1889), commercialise horloges, pendules, tournebroches, mètres, montures de lunettes, verres de lunettes, couverts de table dorés et argentés, etc. Pour cette dernière production, elle acquiert - en même temps que Christophle - le brevet déposé en 1840 par Ruolz pour le traitement des métaux par galvanoplastie et elle convertit en 1850 son usine de l’Abbaye en fabrique de couverts en métal argenté. Elle transfère alors ses activités lunetières et horlogères dans les communs de l’ancien hôtel particulier Jobez, bâti dans les années 1760. De même, lorsque Jean Reydor décède en 1851, sa société compte 150 personnes, ouvriers et paysans, deux tiers pour l’horlogerie et un tiers pour la lunetterie. Une grande partie du personnel travaille à domicile. La fabrication s’est rapidement diffusée dans les communes alentours, dans un rayon d’une vingtaine de kilomètres : Longchaumois (dès 1813 peut-être) - avec notamment la fabrique Tournier qui ajoute cette production à celle des mesures linéaires -, Prémanon (Guillaume et autres), Les Rousses, Lézat, Saint-Lupicin (avec les frères Tournier en 1881-1882), etc. Vers 1880, le canton compte 1 920 lunetiers, dont 556 aux Rousses (85 % résident dans les hameaux en 1891), 536 à Morez et plus de 400 à Longchaumois (qui totalise 126 ateliers et 10 fabriques de plus de 10 personnes) : la moindre ferme a son atelier et chaque paysan une double activité. Par ailleurs, la moitié de ces lunetiers sont en fait des lunetières tant est importante la féminisation de la profession, à partir des années 1860-1880. Le triomphe de l’établissage Si la production était en 1827 de 2 500 à 3 000 paires pour la ville et les communes voisines, elle passe en 1846 pour le canton à 960 000 pièces (lunettes et pince-nez confondus) et dépasse les 12 millions de pièces en 1901 (avec un personnel de 1 320 lunetiers dix ans plus tard). La lunette se démocratise alors que progressent les recherches en optique médicale et la maîtrise de la fabrication des verres correcteurs. Fabrication qui s’épanouit dans le système de l’établissage dont en 1913, André Roy dévoile ainsi l’organisation : « un bureau dans un étage, à côté une ou deux pièces, parfois trois, pièces ordinaires où circulent à l’aise quatre ou cinq employés occupés uniquement à recevoir, plier, expédier des montures en cours d’achèvement ou achevées... parfois, tout au fond de l’appartement, un minuscule atelier : c’est là tout l’outillage de ce fabricant qui pourtant édite des catalogues et fait de nombreuses expéditions au dehors, France ou Étranger. Mais si nous pénétrons dans ce local un samedi, jour de marché, jour d’affaires pour Morez, nous voyons s’y succéder des ouvriers de la ville et des campagnes, apportant par paquets des grosses de montures, de cercles ou de lunettes, achevées et remportant des articles non semblables, mais auxquels ils appliqueront le même travail pendant la semaine, la quinzaine ou le mois qui va suivre » [la grosse est une unité de compte de 144 pièces] (Roy, André. A travers le salariat. L’industrie de la lunetterie dans le canton de Morez (Jura), 1913, p. 190-191). Il constate : « la plupart des "fabricants" ne sont que des "entrepreneurs", des "distributeurs" de travail [...] Le plus ancien et le vrai "type" du "fabricant" morézien est celui-ci : un industriel établissant un modèle et le réalisant au mieux de ses intérêts en distribuant les passes de sa fabrication à des ateliers patronaux, ou ouvriers à domicile, et cela non sans mettre en action le marchandage et la soumission au rabais. » Soumission qui peut ne concerner qu’une passe d’où la multiplication des sous-traitants et l’incessant ballet entre ateliers des lunettes en cours de fabrication. Roy établit une distinction entre usines (qui, d’ailleurs, emploient généralement plus de personnes à domicile que dans leurs locaux), ateliers patronaux et ateliers familiaux. Les ateliers patronaux sont, dans sa classification, de « petites entreprises industrielles installées dans un local loué par le patron, quelquefois même une dépendance de son logis, et où travaillent sous sa direction un petit nombre d’ouvriers » (Roy, André. A travers le salariat [...], p. 199), avec cette précision : « Dans l’industrie qui nous occupe, cette forme économique d’entreprise peut être considérée comme le type normal de la production ». Il dénombre 38 usines (dont 33 de moins de 50 personnes), quelques 70 ateliers patronaux (comptant 250 à 260 personnes) et 350 à 400 ateliers familiaux (chiffre semblant surévalué). A quoi s’ajoute une quatrième catégorie constituée des 1 000 à 1 200 ouvriers de la campagne, soit autant que pour la seule ville de Morez. Parmi les entreprises se distinguent, entre autres, Gouverneur-Audigier (inventeur d’un procédé de fabrication des branches cordées, Clément Gouverneur est l’un des premiers à construire en 1878, une usine entièrement dédiée à la lunetterie, où il occupe une soixantaine de personnes en 1907) ; Auguste Lamy Fils (1882), descendant de l’affaire de Louis-Félix Lamy ; la Société des Lunetiers (1896, une centaine de personnes), à l’origine d’Essilor ; J.-B. Jacquemin (vers 1905, près de 80 personnes en 1907), réunissant trois frères Jacquemin : Jean-Baptiste, Paul et Louis (ce dernier créant une autre société - Louis Jacquemin et Fils - qui deviendra Lux) ; Jeantet (1912-1913), spécialisée dans les lunettes de protection pour automobilistes, cyclistes et aviateurs puis pour l’industrie ; Grenier-Soliget (1918, 70 personnes dans les années 1920) ; etc. Un formidable essor jusqu’aux années 1980 L’entre-deux-guerres voit une réorganisation des moyens de production. Un gros effort de mécanisation est effectué pour soutenir la concurrence et prendre en compte le développement des matières plastiques : celluloïd (inventé en 1870), galalithe (ou « pierre de lait », 1897), Rhodoïd (1936) et autres polymères. Ces nouveaux matériaux sont à l’origine de l’essor industriel d’Oyonnax (dans l'Ain), à une cinquantaine de kilomètres de là. Spécialisée dans la fabrication des peignes, elle doit diversifier sa production lorsque, dans les années 1920, triomphe la mode de la « garçonne » aux cheveux courts. Elle se reconvertit alors dans le jouet, les accessoires de mode et... la lunette, devenant un concurrent sérieux des Moréziens. A la veille de la crise de 1929, l’industrie lunetière est toutefois à son apogée dans le canton de Morez avec un effectif de 3 800 lunetiers (dont 2 500 en ville) assurant les neuf dixièmes de la production nationale. Pour se développer, la filière a obtenu la création d’une école professionnelle : le succès de la section de lunetterie ouverte en 1904 au sein de l’école pratique d’industrie (dans les locaux de l'hôtel de ville) est tel que l’Etat transforme en 1925 l’établissement en école nationale professionnelle d’Optique. Il fait construire, sur des plans de Paul Guadet (également auteur de l’école d’horlogerie de Besançon), de vastes bâtiments desservis par un escalier interminable. Cette école inaugurée en 1932 contribue à la renommée de Morez et à la prospérité de ses entreprises puisqu’elle forme un grand nombre d’opticiens, autant de futurs clients qui essaiment ensuite partout en France. Certains des fabricants locaux adoptent le plastique, à un moment où s’accentue la concentration en usines. De nouvelles lunetteries sont bâties - Les Fils d’Albin Paget (1925), Pelletier et Cok (1927), Cottet-Pesenti (vers 1930), etc. - et d’autres agrandies - le Consortium général d’Optique (auparavant J.-B. Jacquemin), Louis Jacquemin et Cie (Lux), Louis Colin, etc. La Manufacture mécanique de Lunetterie et d’Optique, fondée en 1919 et connue sous le sigle de MMLO (la Méli-Mélo des Moréziens), fait édifier en 1928-1929 de nouveaux ateliers dans lesquels elle fabrique ses montures de lunettes tandis qu'elle en surface les verres dans une unité ouverte vers 1922 à Lons-le-Saunier. Réalisant aussi des machines et de l’outillage pour les opticiens, en association avec le mécanicien Camelin, elle emploiera 220 personnes dans ses deux usines en 1961 (celle de Morez sera détruite en 1992 et 2000). Les constructions concernent également les communes proches (Morbier en 1924 avec Bourgeois - qui se développera à partir de 1958 dans l’ancienne usine d’horlogerie Girod -, Les Rousses en 1938 avec Berthet, Prost-Boucle à Longchaumois vers 1945, etc.) ou plus lointaines (Henry Jullien à Lons-le-Saunier vers 1925). Après la Deuxième Guerre mondiale, le paysage industriel morézien a viré à la mono-industrie lunetière. En 1960, ce domaine occupe près de 1 500 ouvriers (40 % du personnel lunetier français) mais trois entreprises seulement flirtent avec la centaine de personnes. Il connaît à cette époque une évolution fondamentale : la lunette devient un produit de mode et les grands couturiers créent leurs propres marques, imposant un renouvellement des collections deux fois par an pour le solaire et tous les deux à trois ans pour l’optique. Forte d’une réputation associant bon goût et qualité, spécialisée dans la lunette métallique (plus de 85 % de sa fabrication), Morez assure en 1976, avec 2 800 salariés, près de la moitié de la production française devant Oyonnax et Paris. Dans un environnement de concurrence acharnée et de croissance exceptionnelle, la lunetterie évolue vers une concentration de plus en plus grande : les fabriques étaient au nombre de 160 en 1945, elles sont une soixantaine au milieu des années 1970. Les extensions d’usines en rendent compte : Albin Paget, Lux de Morez, Louis Colin, Marius Morel, Paget-Morel, Cébé, etc. La nouvelle unité bâtie en 1964 par la société L’Amy et agrandie en 1969, 1979 et 1988 devient la plus grande usine de la ville. Les difficultés de la fin du 20e siècle A partir de la fin des années 1970, la mondialisation produit ses effets, dans un contexte de crises économiques et de concurrence accrue (Italie, Japon et Corée essentiellement). La structure même du domaine change, la distribution s’imposant au détriment de la fabrication. La concentration s’accélère, avec son cortège de rachats, d’associations (donnant, par exemple, naissance à Logo) et de fermetures : L’Amy totalise plus de 600 salariés, et douze sociétés en ont entre 100 et 300. La municipalité essaie de réagir en développant le tourisme. Un premier musée de la Lunetterie avait été créé en 1983 (dans l'ancien hôpital) par des passionnés. Elle l’étoffe et le transfère en 2003 dans un bâtiment - le « Viseum » - dessiné par le cabinet Reichardt et Ferreux, de Lons-le-Saunier. L’édifice, qui accueille 17 000 visiteurs chaque année, héberge aussi les bureaux du syndicat des Lunetiers du Jura et de l’Association lunetière technologique, le centre de documentation des lunetiers et un magasin d’opticien. Il témoigne de la patrimonialisation en cours d’une activité industrielle influant directement sur le développement de la ville. Moins compétitive, la lunetterie jurassienne est cependant sur le déclin et il ne reste plus à Morez, au début de la décennie 2010, que près de 670 personnes (la moitié des lunetiers du canton) dans une vingtaine d’entreprises. La plupart des grosses sociétés ont, depuis les années 1980, délocalisé tout ou partie de leur production dans des pays où la main-d’œuvre est moins chère, conduisant à la perte de près d’un tiers des emplois locaux entre 1999 et 2005. Certaines des entreprises subsistantes sont devenues de simples ateliers de montage et finition tandis que d’autres ont conservé sur place la conception voire des capacités de production, réduites ou plus importante comme chez Albin Paget ou Logo. Mais Albin Paget ferme en 2015 et Logo l’année suivante. En 2016, l’industrie lunetière emploie encore 2 500 personnes en France, dont 450 dans l’Ain et près de 1 600 dans la région de Morez. Cette dernière produit près de 10 millions de paires par an dans une quarantaine d’entreprises, qui résistent en misant sur le design, l’innovation et la robotisation, sans pour autant sacrifier le passé. L'une d'elle est la plus ancienne société lunetière de France : Fidela. Issue de l'ancienne maison Lamy et Lacroix, devenue Les Fils d’Aimé Lamy en 1881, elle a recommencé après la Deuxième Guerre mondiale à produire des lunettes en métal, représentant les deux tiers de sa fabrication en 1991 puis la totalité en 2010 (avec 24 personnes). Vendue en 2011, elle a été transférée à Saint-Laurent-en-Grandvaux en 2018. Pour sa part, Gouverneur-Audigier (spécialisée dans les années 1930 dans les lunettes pliantes) réalisait en 1991 5 à 6 000 paires de lunettes métalliques par mois, avec 15 personnes et du matériel parfois ancien. Reprise en 2004, elle a été labellisée Entreprise du Patrimoine vivant en 2017.

Description

Commentaire descriptif de l'édifice

La fabrication des lunettes fait appel à de grosses machines (presses à découper ou à injecter, machines à rétreindre, etc.), installées dans les ateliers et les usines, mais aussi à de petites machines d'établi, utilisées dans ces mêmes lieux ou à leur domicile par les artisans et ouvriers. Comme pour l'horlogerie, le grand souci pour une activité minutieuse mettant en oeuvre de petits composants reste l'éclairage. La gestion de la lumière fournit donc un indice de la présence actuelle ou passée d'un atelier dans une maison, un immeuble, une ferme ou tout autre bâtiment. Elle se manifeste par l'existence de baies spécifiques, caractéristiques. A Morez sont ainsi visibles les "fenêtres horlogères" ou "lunetières" (suivant l'époque), d'un petit module, presque carrées et souvent situées aux étages pour obtenir un éclairage maximum. Les fenêtres (d’un module standard) peuvent être multipliées, partageant ou non leurs piédroits, ou se présenter sous forme de fenêtres d'atelier (d'un module plus large). Avec l'évolution des techniques de construction, les usines vont au 20e siècle souvent présenter des façades tant plein que vide, où le mur s'efface quasiment.

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1991

Date de rédaction de la notice

2020

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Poupard Laurent

Typologie du dossier

Dossier thématique

1/79
Un atelier de lunetterie à Morbier, 4e quart 19e siècle [entre 1890 et 1900].
Un atelier de lunetterie à Morbier, 4e quart 19e siècle [entre 1890 et 1900].
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Auguste Lamy Fils puis L'Amy, Morez (216-220 rue de la République et 11-13 rue Wladimir Gagneur) : site récent rue de la République.
Usine Auguste Lamy Fils puis L'Amy, Morez (216-220 rue de la République et 11-13 rue Wladimir Gagneur) : site récent rue de la République.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de mécanique de précision puis de lunetterie Cottet puis de la Société des Lunetiers, Foncine-le-Bas.
Usine de mécanique de précision puis de lunetterie Cottet puis de la Société des Lunetiers, Foncine-le-Bas.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez : meuleuse manuelle Essilor MD2.
Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez : meuleuse manuelle Essilor MD2.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : machine à cintrer les faces, à coulisseau vertical.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : machine à cintrer les faces, à coulisseau vertical.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Louis Jacquemin et Cie, Morez (99-101 rue de la République et 4-6 avenue Charles de Gaulle) : bâtiment rue de la République.
Usine Louis Jacquemin et Cie, Morez (99-101 rue de la République et 4-6 avenue Charles de Gaulle) : bâtiment rue de la République.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Immeuble, Morez (185 rue de la République et 6 rue Hyacinthe Caseaux) : façade antérieure (rue de la République).
Immeuble, Morez (185 rue de la République et 6 rue Hyacinthe Caseaux) : façade antérieure (rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine les Fils d'Edouard Berthet, Les Rousses.
Usine les Fils d'Edouard Berthet, Les Rousses.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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[Ecole pratique de Morez : intérieur de l'atelier de montage des verres], 1927
[Ecole pratique de Morez : intérieur de l'atelier de montage des verres], 1927
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de verres optiques Bourgeois, Lons-le-Saunier (2 rue des Mouillères).
Usine de verres optiques Bourgeois, Lons-le-Saunier (2 rue des Mouillères).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : réédition d'un modèle de lunettes de la première moitié du 20e siècle.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : réédition d'un modèle de lunettes de la première moitié du 20e siècle.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine les Fils de Jules Guillaume, Prémanon (les Rivières).
Usine les Fils de Jules Guillaume, Prémanon (les Rivières).
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Lunettes pour chiens en automobiles et lunettes combinées [de la société Jeantet], début 20e siècle.
Lunettes pour chiens en automobiles et lunettes combinées [de la société Jeantet], début 20e siècle.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Maison, usine d'instruments de mesure (fabrique de mesures linéaires) et de lunetterie Tournier Frères, Longchaumois.
Maison, usine d'instruments de mesure (fabrique de mesures linéaires) et de lunetterie Tournier Frères, Longchaumois.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : machine à rétreindre Chanay et Maitrot.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : machine à rétreindre Chanay et Maitrot.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez : atelier de "prise de vue".
Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez : atelier de "prise de vue".
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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[Intérieur d'un atelier de lunetier], décennie 1940.
[Intérieur d'un atelier de lunetier], décennie 1940.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Albin Paget, Morez (221 rue de la République).
Usine Albin Paget, Morez (221 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Lunettes en plastique Courrèges, inspirées de masques inuits, 1965. Collection du musée de la Lunette, Morez.
Lunettes en plastique Courrèges, inspirées de masques inuits, 1965. Collection du musée de la Lunette, Morez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine ; (c) Musée de la Lunette, Morez
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Immeuble, Morez (185 rue de la République et 6 rue Hyacinthe Caseaux) : façade postérieure avec fenêtres d'atelier.
Immeuble, Morez (185 rue de la République et 6 rue Hyacinthe Caseaux) : façade postérieure avec fenêtres d'atelier.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Hôtel et usine Les Fils d'Aimé Lamy (Fidela), Morez (167-167 bis rue de la République).
Hôtel et usine Les Fils d'Aimé Lamy (Fidela), Morez (167-167 bis rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de la coopérative La Pipe puis usine de lunetterie Jean Clément, Saint-Claude (23 rue Saint-Oyend).
Usine de la coopérative La Pipe puis usine de lunetterie Jean Clément, Saint-Claude (23 rue Saint-Oyend).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de la coopérative Les Lunetiers réunis, Morez (5 rue de la Concorde).
Usine de la coopérative Les Lunetiers réunis, Morez (5 rue de la Concorde).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine des frères Tournier, Saint-Lupicin (le Bief d'Etra).
Usine des frères Tournier, Saint-Lupicin (le Bief d'Etra).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Fabrique de Lunetterie. Etablissement Grenier-Soliget, Morez (Jura), 2e quart 20e siècle [vers 1933].
Fabrique de Lunetterie. Etablissement Grenier-Soliget, Morez (Jura), 2e quart 20e siècle [vers 1933].
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Vitrine d'exposition de lunettes de la société L. Jeantet.
Vitrine d'exposition de lunettes de la société L. Jeantet.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine L. Cottet-Pesenti et Cie, Morez (23 rue Wladimir Gagneur).
Usine L. Cottet-Pesenti et Cie, Morez (23 rue Wladimir Gagneur).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : intérieur de l'atelier côté rue.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : intérieur de l'atelier côté rue.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Enseigne d'opticien, Morez.
Enseigne d'opticien, Morez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Maison de l'Email, Morez (171 rue de la République et 4 rue du Docteur Regad) : atelier rue du Docteur Regad.
Maison de l'Email, Morez (171 rue de la République et 4 rue du Docteur Regad) : atelier rue du Docteur Regad.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : modèles de pince-nez.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : modèles de pince-nez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Maison et usine de fournitures pour l'horlogerie puis de lunetterie Bauduret, Morez (84 rue de la République) : façade côté Bienne.
Maison et usine de fournitures pour l'horlogerie puis de lunetterie Bauduret, Morez (84 rue de la République) : façade côté Bienne.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine - Les Fils de J. Guillaume - Les Rivières, par Morez (Jura) (1907).
Usine - Les Fils de J. Guillaume - Les Rivières, par Morez (Jura) (1907).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Tannerie puis usine de lunetterie, Morez (7-8 rue de la Tannerie).
Tannerie puis usine de lunetterie, Morez (7-8 rue de la Tannerie).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Morez (Jura) - Rue de la République, 1ère moitié 20e siècle [années 1920-1930]
Morez (Jura) - Rue de la République, 1ère moitié 20e siècle [années 1920-1930]
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Edmond Poux. Rue de l'Industrie [et] Rue de la République, 2e quart 20e siècle [vers 1933].
Edmond Poux. Rue de l'Industrie [et] Rue de la République, 2e quart 20e siècle [vers 1933].
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Hôtel et atelier de lunetterie, Morez (149 rue de la République) : fenêtres lunetières de l'aile sud.
Hôtel et atelier de lunetterie, Morez (149 rue de la République) : fenêtres lunetières de l'aile sud.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Musée de la Lunette, Morez (place Jean Jaurès) : espace de présentation des collections permanentes.
Musée de la Lunette, Morez (place Jean Jaurès) : espace de présentation des collections permanentes.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine ; (c) Reichardt & Ferreux architectes
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Enseigne d'opticien, Morez.
Enseigne d'opticien, Morez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Fabrique spéciale de Lunettes pour Automobilistes, Cyclistes et Aviateurs Léon Jeantet, 1ère moitié 20e siècle [vers 1930] .
Fabrique spéciale de Lunettes pour Automobilistes, Cyclistes et Aviateurs Léon Jeantet, 1ère moitié 20e siècle [vers 1930] .
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Enseigne d'opticien en forme de pince-nez, Morez (123 rue de la République).
Enseigne d'opticien en forme de pince-nez, Morez (123 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Jura-Touriste. Morez - Le Bas de la Ville, entre 1927 et 1934.
Jura-Touriste. Morez - Le Bas de la Ville, entre 1927 et 1934.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Atelier de lunetterie (actuellement immeuble), Morez (5 rue du Docteur Regad).
Atelier de lunetterie (actuellement immeuble), Morez (5 rue du Docteur Regad).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez (35 quai André Lamy).
Ecole professionnelle dite Ecole nationale d'Optique puis lycée polyvalent Victor Bérard, Morez (35 quai André Lamy).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Paget-Morel, Morez (4-6 rue Voltaire).
Usine Paget-Morel, Morez (4-6 rue Voltaire).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Fabrique générale de lunettes métal et matière plastique Jules Lamy & Fils, 3e quart 20e siècle.
Fabrique générale de lunettes métal et matière plastique Jules Lamy & Fils, 3e quart 20e siècle.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : soudage sur la machine à souder Himmel.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : soudage sur la machine à souder Himmel.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Grenier-Soliget et Cie, Morez (10 avenue Charles de Gaulle) : façade sur la rue Fenandre.
Usine Grenier-Soliget et Cie, Morez (10 avenue Charles de Gaulle) : façade sur la rue Fenandre.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine d'horlogerie Girod puis de lunetterie Bourgeois, Morbier.
Usine d'horlogerie Girod puis de lunetterie Bourgeois, Morbier.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Poux puis Chevassus, Morez (90 rue de la République et 11 rue de l'Industrie).
Usine Poux puis Chevassus, Morez (90 rue de la République et 11 rue de l'Industrie).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Musée de la Lunette, Morez (place Jean Jaurès).
Musée de la Lunette, Morez (place Jean Jaurès).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine ; (c) Reichardt & Ferreux architectes
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : laminoir à fil.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : laminoir à fil.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Moulin à farine et martinet Clément, puis ateliers de lunetterie Regad et Buffard, Morez (19-23 rue du Docteur Regad) : façade côté Bienne.
Moulin à farine et martinet Clément, puis ateliers de lunetterie Regad et Buffard, Morez (19-23 rue du Docteur Regad) : façade côté Bienne.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine L. Jeantet, Morez (214 rue de la République).
Usine L. Jeantet, Morez (214 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de meubles Cuinet puis atelier de lunetterie, Champagnole (33-35 rue Victor Bérard).
Usine de meubles Cuinet puis atelier de lunetterie, Champagnole (33-35 rue Victor Bérard).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Louis Jacquemin et Cie, Morez (99-101 rue de la République et 4-6 avenue Charles de Gaulle) : bâtiments avenue Charles de Gaulle.
Usine Louis Jacquemin et Cie, Morez (99-101 rue de la République et 4-6 avenue Charles de Gaulle) : bâtiments avenue Charles de Gaulle.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Maison d'industriel (Reydor), Morez (116 rue de la République).
Maison d'industriel (Reydor), Morez (116 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez (12 rue Voltaire) : intérieur d'un atelier (nettoyage des lunettes).
Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez (12 rue Voltaire) : intérieur d'un atelier (nettoyage des lunettes).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez : baies des ateliers.
Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez : baies des ateliers.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Atelier à fenêtres lunetières (à gauche, au 39 rue de la République) et usine à fenêtres d'atelier (à droite, au 37 bis).
Atelier à fenêtres lunetières (à gauche, au 39 rue de la République) et usine à fenêtres d'atelier (à droite, au 37 bis).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez : intérieur de l'atelier à l'étage.
Usine Gouverneur-Audigier, Morez : intérieur de l'atelier à l'étage.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de l'Abbaye, Morez (23-31 rue Emile Zola)
Usine de l'Abbaye, Morez (23-31 rue Emile Zola)
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine J.-B. Jacquemin puis du Consortium général d'Optique, Morez (1-8 rue de l'Industrie et 6-15 rue Lamartine).
Usine J.-B. Jacquemin puis du Consortium général d'Optique, Morez (1-8 rue de l'Industrie et 6-15 rue Lamartine).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Henry Jullien, Lons-le-Saunier (14 avenue Camille Prost).
Usine Henry Jullien, Lons-le-Saunier (14 avenue Camille Prost).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, Morez (199 rue de la République).
Usine de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, Morez (199 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Immeuble et usine de la Société des Lunetiers, Morez (194-198 rue de la République).
Immeuble et usine de la Société des Lunetiers, Morez (194-198 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Lunettes, pince-nez et lorgnons, 1877.
Lunettes, pince-nez et lorgnons, 1877.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usines à vapeur et hydrauliques de Morez-du-Jura en 1877.
Usines à vapeur et hydrauliques de Morez-du-Jura en 1877.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de quincaillerie puis de lunetterie Girard, Champagnole (3 rue Baronne Delort).
Usine de quincaillerie puis de lunetterie Girard, Champagnole (3 rue Baronne Delort).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, Morez : intérieur d'un atelier.
Usine de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, Morez : intérieur d'un atelier.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Gouverneur-Audigier, Morez (66 rue de la République).
Usine Gouverneur-Audigier, Morez (66 rue de la République).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Tableau d'exposition réalisé avec des composants de lunettes pour la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez.
Tableau d'exposition réalisé avec des composants de lunettes pour la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Morez-du-Jura - Société des Lunetiers, 1er quart 20e siècle [entre 1903 et 1909].
Morez-du-Jura - Société des Lunetiers, 1er quart 20e siècle [entre 1903 et 1909].
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Ateliers au long de la Bienne et intérieur d'un atelier de fabrication [de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez], 1ère moitié 20e siècle [vers 1930].
Ateliers au long de la Bienne et intérieur d'un atelier de fabrication [de la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez], 1ère moitié 20e siècle [vers 1930].
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Lunetterie C. Gouverneur & Audigier. Morez. Juin 1907.
Lunetterie C. Gouverneur & Audigier. Morez. Juin 1907.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Tableau d'exposition réalisé avec des verres de lunettes pour la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez.
Tableau d'exposition réalisé avec des verres de lunettes pour la Manufacture mécanique de Lunetterie et d'Optique, à Morez.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez (12 rue Voltaire).
Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie Lux de Morez puis Logo, Morez (12 rue Voltaire).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie des Ets Marius Morel, Morez (18-22 avenue Charles de Gaulle). Au premier-plan les bâtiments (au toit en carène) de l'usine Pelletier et Cok puis Cok et Cie (8-12 rue de la Paix).
Usine d'horlogerie Odo puis de lunetterie des Ets Marius Morel, Morez (18-22 avenue Charles de Gaulle). Au premier-plan les bâtiments (au toit en carène) de l'usine Pelletier et Cok puis Cok et Cie (8-12 rue de la Paix).
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Usine Albin Paget, Morez : décoration de branches de lunettes.
Usine Albin Paget, Morez : décoration de branches de lunettes.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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