Ministère
de la Culture
POP | Plateforme ouverte du patrimoineChâteau fort de Ribérac
Château fort de Ribérac
Référence de la notice
IA24000509
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
Inventaire
Date de création de la notice
16 septembre 2002
Date de dernière modification de la notice
27 février 2020
Rédacteur de la notice
Marabout Vincent
Mentions légales
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) Conseil général de la Dordogne
Désignation de l'édifice
Titre courant
Château fort de Ribérac
Appellation d'usage
Château de Ribérac
Producteur
Inventaire
Dénomination de l'édifice
château fort
Localisation au moment de la protection ou de l'étude
Localisation
Nouvelle-Aquitaine ; Dordogne (24) ; Ribérac ; rue du Four ; rue Notre-Dame
Aire d'étude pour le domaine de l'Inventaire
Val de Dronne
Canton
Ribérac
Adresse de l'édifice
Four (rue du) ; Notre-Dame (rue)
Références cadastrales
1995 AW 317-320
Milieu d'implantation pour le domaine de l'Inventaire
en ville
Partie constituante non étudiée
communs
Historique de l'édifice
Siècle de campagne principale de construction
Auteur de l'édifice
Description historique
La fondation du château de Ribérac est traditionnellement attribuée au vicomte Alchier (Alquerius) et datée du 10e siècle. Le château fut la propriété des familles de Pons, d'Aydie et de Chapt, puis des Brasset et des Durbin. Il est démoli en 1793 et ne présente que quelques ruines en 1846, date à laquelle il fut dessiné par Léo Drouyn.
Description de l'édifice
Commentaire descriptif de l'édifice
Seul le croquis réalisé en 1846 par Léo Drouyn permet de connaître approximativement l'organisation du château. Il occupait l'éperon qui dominait la ville, barré au sud par un fossé aboutissant devant l'ancienne église Notre-Dame. Au nord-ouest, une porte encadrée de tours, l'ensemble évoquant un châtelet, ouvrait sur une cour où se situait un puits et les bâtiments des communs qui longeaient la courtine à l'ouest. Le château proprement dit, trônait dans l'angle est de l'enceinte au sommet d'une motte artificielle. Son plan irrégulier, grossièrement rectangulaire, témoigne de plusieurs phases de construction. Selon Drouyn, les constructions nord et est, dont certaines, percées de fenêtres à meneau et croisillon, étaient plus récentes que le noyau qu'il désigne comme étant un donjon entouré d'une seconde enceinte. Visiblement les fortifications se prolongeaient au sud-est.
État de conservation
détruit
Date de l'enquête ou du récolement
2000
Références documentaires
Cadre de l'étude
Typologie du dossier
dossier avec sous-dossier
Date de rédaction de la notice
2002
Mentions légales
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) Conseil général de la Dordogne
Sources complémentaires
Adresse de conservation et consultation du dossier
Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37
Voir aussi
Lien vers le dossier PDF
Référence de la notice
IA24000509
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
Inventaire
Date de création de la notice
16 septembre 2002
Date de dernière modification de la notice
27 février 2020
Rédacteur de la notice
Marabout Vincent
Mentions légales
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) Conseil général de la Dordogne
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