Moulinerie ; usine de petite métallurgie ; fonderie
Moulinerie de soie ; fonderie de fer
Usine de Petite Métallurgie Chalon ; puis Fonderie Boisson
Chocolaterie ; garage ; école
Moulinerie de soie Chalon, puis usine de petite métallurgie et fonderie de fer Boisson
Occitanie ; Gard (30) ; Alès ; 5, 7 quai Boissier-de-Sauvages ; 2 rue de la Roque ; 1 rue Claris
Gard
Ales-Ville
Boissier-de-Sauvages (quai) 5, 7 ; Roque (rue de la) 2 ; Claris (rue) 1
1810 F 589P, 590 ; 1982 CB 53, 121, 122
En ville
Ancien canal des Moulins
Atelier de fabrication ; hangar industriel ; bureau d'entreprise
2e quart 19e siècle ; 4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle
1842 ; 1932
Daté par source
Usine de fabrication de machines métalliques Chalon Frères (Edouard et Frédéric) autorisée en 1842 sur un site comportant une moulinerie de soie et filature, déplacée en 1853 et transformée jusque vers 1880 en fabrique de chocolat (Bourguet et Thérond). Agrandissement en 1850, arrêt temporaire vers 1865 et reprise par A. Agusse puis Isidore Boisson, ancien ingénieur à Tamaris. Modification des bâtiments et activité de fonderie devenant dominante. Passage en 1910 à Boisson Jean et nouveaux agrandissements. Fusion de 1924 à 1931 avec la fonderie Veillon. Devient en 1931 la S.A. des établissements Boissier de Sauvages. Nouvelle extension en 1932 par la construction de l'atelier de construction mécanique rue Claris. Redevient Boisson en 1934 puis passe en partie en 1945 à M. Giroudon qui fait tourner l'entreprise au ralenti jusque vers 1960. Par la suite, abrite l'entreprise de mécanique générale Altairac et Cie avant son installation à Tamaris. Le reste sert d'entrepôt et d'atelier à l'entreprise Sapède (mécanique) , puis Garidel, puis carrosserie Bonnafous et à la Société Alésienne de Boulangerie. Actuellement collège privé Taisson et annexe de la carrosserie des Cévennes dont le site principal a été déplacé à la nouvelle zone industrielle (quartier de Bruèges)
Pierre ; moellon ; enduit ; fer ; brique ; pan de fer
Tuile creuse ; tuile mécanique ; ciment amiante en couverture
2 étages carrés ; 1 vaisseau
Charpente en bois apparente ; charpente métallique apparente
Élévation à travées
Toit à longs pans ; pignon couvert
Escalier intérieur ; escalier tournant à retours ; en maçonnerie
Énergie hydraulique ; produite sur place ; énergie thermique ; produite sur place ; énergie électrique ; achetée
Côté est remaniant l'usine textile originelle, 2 étages carrés, travées de baies en arc segmentaire ; groupe de bâtiments de pierre à deux étages carrés, toits en tuiles creuses ; atelier nord-ouest à un seul étage carré, baies en arc segmentaire et toit en tuiles mécaniques ; bâtiment rue Claris à un vaisseau, en pan de fer avec garnissage de brique, sauf le mur pignon nord en pierre et béton, toit en tuile mécanique sur charpente métallique ; surface du site en m2 : 2637 ; surface bâtie en m2 : 2080
Rectangulaire,arc segmentaire
Restauré ; établissement industriel désaffecté
Propriété privée
1989
© Inventaire général
1990
Wienin Michel
Dossier individuel
Patrimoine industriel
Conseil régional Occitanie - Direction de la Culture et du Patrimoine - Service Connaissance et Inventaire des Patrimoines 22, bd Maréchal Juin 31406 Toulouse cedex 9 - Espace Capdeville, 417 Rue Samuel Morse, 34000 Montpellier - 05.61.39.62.1592