Ministère
de la Culture
POP | Plateforme ouverte du patrimoineMaison Verdier
Maison Verdier
Référence de la notice
EA24000002
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
État
Date de création de la notice
23 mai 2014
Date de dernière modification de la notice
23 décembre 2019
Rédacteur de la notice
Préault Clémence ; Laborderie Anne
Mentions légales
© Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines
Désignation de l'édifice
Titre courant
Maison Verdier
Producteur
État
Dénomination de l'édifice
maison
Localisation au moment de la protection ou de l'étude
Localisation
Nouvelle-Aquitaine ; Dordogne (24) ; Labouquerie
Précision sur la localisation
Anciennement région de : Aquitaine
Localisation actualisée
Code INSEE de la commune actuelle
LABELXX-AQ
Historique de l'édifice
Siècle de campagne principale de construction
Année(s) de(s) campagne(s) de construction
1973
Commentaire concernant la datation
datation par source
Auteur de l'édifice
Commentaire concernant l'attribution de l'édifice
attribution par source
Personnalité liée à l'histoire de l'édifice
Verdier François (commanditaire) ; Verdier Bernadette (commanditaire)
Description de l'édifice
Matériaux du gros-œuvre
pierre sèche ; béton armé
Matériaux de la couverture
béton en couverture
Description de l'élévation intérieure
en rez-de-chaussée
Typologie de la couverture
terrasse
Commentaire descriptif de l'édifice
La maison, implantée sur une parcelle de 4500m² située dans un bois de chênes, a été construite en 1973 par l'architecte Bernard Saillol avec l'aide du bureau d'étude technique structure S. Piccin, pour François et Bernadette Verdier. Au coeur du terrain, deux murs de pierres sèches, délimitent une sorte d'enceinte en forme d'amande, qui enserre les pièces d'habitation disposées selon un plan en croix déterminant ainsi quatre patios. La maison elle même (106m²), en rez-de-chaussée, est construite en béton (poteaux-poutres) ; les pièces aux larges baies vitrées s'ouvrent sur les patios où ont été conservés des arbres déjà présents sur le terrain. Deux poutres en béton, aux dimensions monumentales, débordent en porte à faux, devant chacun des bras de la croix et viennent en appui sur les murs d'enceinte. Rare élément décoratif de cet ensemble brutaliste, leur profil en creux permettait d'y planter une végétation au port retombant destiné à végétaliser le toit-terrasse (dispositif aujourd'hui supprimé pour des questions d'étanchéité). L'architecte a également conçu les aménagements intérieurs qu'il a voulu le plus sobre possible : sols en caillou lavé (aujourd'hui remplacé par du carrelage), murs en enduit au plâtre, pas de mobilier à l'exception de quelques éléments tels la table de cuisine ou les paillasses de la cuisine et de la salle de bain, réalisées en béton recouvert de carrelage orange 8x8. La baignoire est encastrée dans le sol. L'ensemble bénéficiait d'un chauffage à air pulsé par le sol. L'édifice a bénéficié de plusieurs publications lors de son achèvement.
Date de l'enquête ou du récolement
2006
Statut juridique, intérêt, protection et label
Intérêt de l'édifice
à signaler
Date de label
2007/03/15 : label patrimoine du XXe siècle
Statut juridique
Statut juridique du propriétaire
propriété privée
Références documentaires
Cadre de l'étude
Typologie du dossier
dossier individuel
Date de rédaction de la notice
2014
Mentions légales
© Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines
Référence de la notice
EA24000002
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
État
Date de création de la notice
23 mai 2014
Date de dernière modification de la notice
23 décembre 2019
Rédacteur de la notice
Préault Clémence ; Laborderie Anne
Mentions légales
© Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines
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