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Plateforme ouverte du patrimoine

Chapelle de Semaine de l'église de l'Epiphanie

Désignation

Dénomination de l'édifice

Architecture religieuse ; édifice religieux ; édifice religieux chrétien ; église

Titre courant

Chapelle de Semaine de l'église de l'Epiphanie

Localisation

Localisation

Auvergne-Rhône-Alpes ; Rhône (69) ; Vénissieux ; 2 rue du Président Édouard-Herriot

Adresse de l'édifice

Édouard-Herriot (rue du Président) 2

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

20e siècle

Siècle de campagne secondaire de consctruction

20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1969 ; 1973

Auteur de l'édifice

Description historique

L'architecte Franck Grimal a construit en 1969 un ensemble paroissial sur le plateau des Minguettes. Les édifices qui constituent cet ensemble sont de dimensions très variées et de conception totalement différente. L'église, de plan rectangulaire et à l'architecture très banale, est une vaste salle fonctionnelle (servant d'église mais également de lieu pour les réunions profanes). L'autre édifice, relié par un étroit couloir à l'église, est bien plus intéressant : il s'agit de la chapelle de semaine de l'église Epiphanie, qui constitue véritablement une oeuvre d'art et d'architecture. Ce petit édifice a la forme d'une pyramide : huit hexagones de dimensions décroissantes s'imbriquent les un dans les autres suivant le mouvement d'une spirale. Chaque hexagone présente des faces triangulaires dont l'orientation alterne (un triangle pointe vers le haut, et un autre pointe vers le bas). La forme triangulaire est reprise sur chacune des faces, puisqu'elles sont percées d'une ouverture triangulaire de sens inversé (lorsque le triangle pointe vers le haut, la baie est dirigée au sol ... ). L'ossature de cette oeuvre est en bois, tandis que des triangles de cuivre constituent le revêtement extérieur. Le revêtement intérieur est lui constitué de panneaux de latté peint. Le tabernacle tout comme la croix (au sommet) ont été réalisés par Bouget.

Description

Commentaire descriptif de l'édifice

La piscine de Vénissieux est constituée d’un bassin de 50 mètres, d’un bassin d’initiation et d’une fosse à plongeon. Une couverture mobile textile transparent se déploie au-dessus des 2 000 m² de l’ensemble nautique. Cette toiture est attachée au sommet d’un mât et peut être repliée pendant la saison d’été. Le reste de l’année, le vélum, qui recouvre l’ensemble des bassins, est mû par un système de chariot automoteur et de câbles de suspension ; des parois amovibles complètent l’isolation. La structure consiste en un mât, situé à l’extérieur de manière à libérer la surface des bassins et des plages. Ce mat est constitué de 3 éléments membrures reliés entre elles à différents niveaux par des entretoises de renfort en triangle, qui augmentent sa rigidité. En partie haute les 3 membrures se divisent en un hexagone qui sert à la répartition des câbles fixes rayonnants sur lesquels coulisse le vélum en suspension, qui s’ouvre et se referme à volonté. Cette toiture textile amovible est en fibre de verre enduite de téflon. Le mât, en tubes d’acier, est ancré au sol et haubané par 3 câbles. Les équipements techniques sont rassemblés en sous-sol : traitement des eaux, chaufferie, vestiaires,… A bien regarder la piscine depuis une vue aérienne, l’ensemble créé ressemble fort à un poisson.

Protection et label

Intérêt oeuvre

Rapport à son environnement Matériaux emprunts de modernité : cuivres, panneaux de latté… Simplicité mais précision de la réalisation Richesse des détails, par exemple détails intérieurs Exemple « d’architecture de petite envergure.

Date de label

2007

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2020

Typologie du dossier

Dossier individuel