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de la Culture
POP | Plateforme ouverte du patrimoineEglise paroissiale Sainte-Marie, Saint-Martin, Nativité de Notre-Dame
Eglise paroissiale Sainte-Marie, Saint-Martin, Nativité de Notre-Dame

Référence de la notice
IA43000148
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
Inventaire
Date de création de la notice
19 février 2010
Date de dernière modification de la notice
21 septembre 2020
Rédacteur de la notice
Lionel Sauzade
Mentions légales
© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel
Désignation de l'édifice
Titre courant
Eglise paroissiale Sainte-Marie, Saint-Martin, Nativité de Notre-Dame
Producteur
Inventaire
Dénomination de l'édifice
église paroissiale
Vocable, pour les édifices cultuels
Sainte-Marie ; Saint-Martin ; Nativité de Notre-Dame
Localisation au moment de la protection ou de l'étude
Localisation
Auvergne-Rhône-Alpes ; Haute-Loire (43) ; Tence
Précision sur la localisation
Anciennement région de : Auvergne
Aire d'étude pour le domaine de l'Inventaire
Tence
Références cadastrales
1830 G1 175 ; 1975 BC 90
Milieu d'implantation pour le domaine de l'Inventaire
en ville
Historique de l'édifice
Siècle de campagne principale de construction
Siècle de campagne secondaire de construction
1er quart 20e siècle ; 4e quart 20e siècle
Année(s) de(s) campagne(s) de construction
1780
Commentaire concernant la datation
porte la date ; datation par source
Auteur de l'édifice
Description historique
La paroisse Sainte-Marie est citée dans le cartulaire de Chamalières (10e siècle). Entre 1090 et 1110 l'église est érigée en prieuré sous le vocable de Saint-Martin et donnée aux bénédictins d'Ainay de Lyon. Le choeur est reconstruit entre 1523 et 1554, période où Jean de Naturel est prieur. L'église aurait été incendiée au 16e siècle. En 1577, la Compagnie de Jésus remplace les bénédictins. Entre 1652 et 1719, les Pénitents Blancs ont une chapelle sur la tribune de l'église. La reconstruction du clocher est décidée en 1756. En 1759, le curé paye à Claude Debard, architecte des Ponts-et-Chaussées, 3956 livres pour cette reconstruction. Les travaux sont réalisés en 1764. En 1777, M de Billon (ou Billou) , inspecteur des Ponts-et-Chaussées, donne un projet de restauration de l'édifice avec notamment la construction du portail sud. En janvier 1779, les travaux sont adjugés à Jacques Petre, maçon à La Brosse ; ils sont réceptionnés le 22 septembre 1780. En juillet 1833, les architectes du Puy Solvain et Abougit dressent un projet d'agrandissement qui sera abandonné. En 1835, Louis Florentin Brenas, architecte voyer donne un nouveau projet. En juin 1836, les travaux sont adjugés à Pierre-Alphonse Peyrot. Ils sont interrompus et l'architecte donne un second projet en octobre 1838. En février 1840, l'entrepreneur s'engage à réaliser ce nouveau projet. L'église est agrandie d'une travée à l'ouest. En juillet 1857 M. Rollet, ingénieur-architecte à Saint-Etienne donne un projet de flèche. Les travaux adjugés à Jean Chave de Tence sont achevés en 1859. Sans doute au 19e siècle, le vocable Nativité de Notre-Dame est ajouté à celui de Saint-Martin. En 1901 : réparation aux couvertures du clocher et de l'église, installation d'une nouvelle cloche. En 1912, Antoine Rostan, ingénieur civil des mines à Tence dresse un projet de reconstruction de la tribune. En 1913, adjudication à Auguste Falcon, serrurier à Firminy (42) , des travaux de la tribune et ceux de reconstruction ou de consolidation de certaines voûtes. La nef a été lourdement restaurée en 1975 (couverture, sol, tribune).
Description de l'édifice
Matériaux du gros-œuvre
granite ; pierre de taille ; moellon
Matériaux de la couverture
basalte en couverture ; métal en couverture
Typologie de plan
plan allongé
Description de l'élévation intérieure
3 vaisseaux
Typologie du couvrement
voûte d'arêtes ; voûte d'ogives ; coupole
Typologie de la couverture
toit à longs pans ; croupe polygonale ; flèche polygonale
Commentaire descriptif de l'édifice
La face sud de la nef est en pierre de taille. Au bas-côté nord, deux travées sont voûtées d'arêtes ; au bas-côté sud, deux travées sont voûtées d'ogives. Le choeur est voûté d'ogives. Une coupole couvre le faux-transept. Le chevet est couvert d'une croupe polygonale. Le clocher est surmonté d'une flèche en partie couverte en métal.
Technique du décor porté de l'édifice
vitrail (étudié dans la base Palissy) ; sculpture (étudié dans la base Palissy) ; sculpture
Indexation iconographique
Agneau mystique ; coeur, fleur, symbole : vie religieuse
Description de l'iconographie
Armes non identifiées sur la pile nord-ouest soutenant la coupole. Armes non identifiées sur la voûte de la chapelle sud-est. Agneau mystique sur la voûte de la chapelle sud-est. Coeur, fleurs, triangle de la trinité sur portail sud.
État de conservation
restauré
Date de l'enquête ou du récolement
1996
Statut juridique, intérêt, protection et label
Intérêt de l'édifice
à signaler
Statut juridique
Statut juridique du propriétaire
propriété publique
Références documentaires
Cadre de l'étude
Typologie du dossier
dossier individuel
Date de rédaction de la notice
1997
Mentions légales
© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel
Sources complémentaires
Adresse de conservation et consultation du dossier
Région Auvergne-Rhône-Alpes - Centre de documentation du patrimoine - 59 boulevard Léon Jouhaux - CS 90706 – 63050 Clermont-Ferrand CEDEX 2 - 04.73.31.84.88

Référence de la notice
IA43000148
Nom de la base
Patrimoine architectural (Mérimée)
Producteur
Inventaire
Date de création de la notice
19 février 2010
Date de dernière modification de la notice
21 septembre 2020
Rédacteur de la notice
Lionel Sauzade
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