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de la Culture
POP | Plateforme ouverte du patrimoinePremière rêverie - Jeune fille songeant ou la Mélancolie
Première rêverie - Jeune fille songeant ou la Mélancolie

Référence de la notice
M0332001403
Nom de la base
Collections des musées de France (Joconde)
Date de création
20 décembre 2013
Date de mise à jour
26 novembre 2024
Rédacteur de la notice
musée des beaux-arts de Besançon ; DIOP Lisa
Crédits photographiques
GUENAT Pierre
Identification du bien muséal
Numéro d'inventaire
896.1.412
Domaine
Titre
Première rêverie - Jeune fille songeant ou la Mélancolie
Auteur
Précisions sur l'auteur
Besançon, 1806 ; Paris, 1894
École (pays)
France ; Franche-Comté
Contexte de création - contexte historique
Période de création
Millésime de création
1867
Description du bien muséal
Matériaux et techniques
Mesures
l. 96,8 ; H. 127,3 ; TAIL. G
Inscriptions
signature
Précisions sur les inscriptions
en bas, à gauche : Jean Gigoux
Sujet représenté
figure (allégorie : mélancolie, femme, assis, de trois-quarts, robe, songe, bord de mer, ruines, plante)
Statut juridique
Statut juridique
propriété de la commune ; don manuel ; Besançon ; musée des beaux-arts et d'archéologie
Date d'acquisition
1896 (?)
Anciennes appartenances
Paul Lapret
Lieu de conservation
Besançon ; musée des beaux-arts et d'archéologie
Informations complémentaires
Commentaires
Une jeune fille aux longs cheveux, vêtue d'une robe blanche, est assise sur les blocs moulurés d'une ruine au bord de la mer ; elle semble perdue dans ses pensées ; malgré le chromatisme gris de la toile, celle-ci ne reflète pas un sentiment de tristesse éperdue : cette relative quiétude lui a valu d'être parfois intitulée 'La Mélancolie'. [...] Les pierres effondrées et la plante moribonde, l'aspect stérile de cette contrée, l'espace immense de cette mer qui s'étend sous un ciel sans fin, laissent du moins penser que Gigoux a voulu charger son oeuvre d'un humble message philosophique. Jouin nous informe que cette allégorie symbolise 'dans la pensée de l'auteur, la poésie du Nord'. La couche picturale, vraisemblablement étendue sur une préparation défectueuse, a plissé la surface du tableau, nouveau témoignage du désintérêt du peintre pour les enjeux techniques de ses travaux. (in PINETTE Matthieu et SOULIER-FRANCOIS Françoise, Jean Gigoux, 1806-1894 : dessins, peintures, estampes, oeuvres de l'artiste dans les collections des musées de Besançon, Besançon : Musée des beaux-arts et d'archéologie, 1994, p. 117)
Bibliographie
ESTIGNARD Alexandre, Jean Gigoux, sa vie, ses oeuvres, ses collections, Besançon, impr. de Delagrange-Louys, 1895, p. 71 ; JOUIN Henri, Jean Gigoux. Artistes et gens de lettres de l'époque romantique, Paris, l'Artiste, 1895, p. 108 ; LAPRET Paul, Musée Jean Gigoux à Besançon, Catalogue des peintures et dessins, Besançon, Impr. Dodivers, 1902, p. 22 ; PINETTE Matthieu, SOULIER-FRANÇOIS Françoise et al., Jean Gigoux. Dessins, Peintures, Estampes, Oeuvres de l'artiste dans les collections des musées de Besançon, Besançon, Ville de Besançon, 1994, p. 117
Voir aussi
Lien de commande de la photographie
Référence de la notice
M0332001403
Nom de la base
Collections des musées de France (Joconde)
Date de création
20 décembre 2013
Date de mise à jour
26 novembre 2024
Rédacteur de la notice
musée des beaux-arts de Besançon ; DIOP Lisa
Crédits photographiques
GUENAT Pierre
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Localisation
Besançon ; musée des beaux-arts et d'archéologie