98.7.15 ; ME 2222-2 (Numéro fouilles)
Lampe à huile zoomorphe
Hauteur en cm 6 ; Largeur en cm 4,5
Plusieurs exemplaires de lampes à anse ornée d’une tête de cheval ont été découverts sur différents sites toulousains. Ces lampes très originales, et que l’on ne retrouve qu’à Toulouse, ont été produites dans un atelier de potiers qui a fonctionné avant l’implantation du probable palais wisigoth dans ce secteur. On a aussi retrouvé de la vaisselle à décor estampé réalisé au moyen de poinçons en terre cuite et caractéristique des productions de l’Antiquité tardive. Cartel exposition Wisigoths, Rois de Toulouse, 2020 ; Anse plastique en forme de protomé de cheval d'un type de lampe produit probablement par l'atelier de l'ancien hôpital Larrey où un exemplaire similaire a été retrouvé. Le décor géométrique du bandeau rappelle un motif fréquent dans les productions du même atelier. Raphaël de Filippo
Europe, France, Occitanie, Haute-Garonne, Toulouse (Esquirol (métro), lieu de découverte) ; Fouilles archéologiques ; (1990-1991, date de découverte) ; (équipe dirigée par Raphaël de Filippo, découvreur)
propriété de la commune, dévolution, Toulouse, musée Saint-Raymond
Service Régional de l'Archéologie Occitanie
Archéologie toulousaine. Antiquité et haut Moyen Age. Découvertes récentes (1988-1995), musée Saint-Raymond , Toulouse, 23/06/1995 - 24/09/1995 Wisigoths, Rois de Toulouse, Musée Saint-Raymond, Toulouse, 27/02/2020 - 27/12/2020
exposition musée Saint-Raymond, 1995, Archéologie toulousaine. Antiquité et haut Moyen Age. Découvertes récentes (1988-1995), Toulouse, Musée Saint-Raymond, 1995 (n° 240) Sophie Bessi, Mémoire de maîtrise d'archéologie antique présenté sous la direction de Robert Sablayrolles, Volume II = Catalogue, Les lampes à huile du musée Saint-Raymond trouvées en contexte archéologique à Toulouse et Vieille-Toulouse, Toulouse, Université de Toulouse II-Le Mirail UFR d'histoire et d'archéologie, 2003 (n° 92) L. Barthet (dir.) , Wisigoths, Rois de Toulouse. Exposition, musée Saint-Raymond, Toulouse, 2020, Toulouse, Musée Saint-Raymond, 2020 (p. 209-218)