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Portrait d'André Chénier (Constantinople, 1762 - Paris, 1794)

France

Anciennement attribué à Suvée

4e quart 18e siècle

France ; Paris (lieu de création, lieu d'exécution)

Hauteur en cm 68 ; Largeur en cm 52

portrait (Chénier André, homme)

Cette effigie pourrait avoir été réalisée d'après le seul portrait dont l'authenticité soit assurée : celui de Suvée peint à la prison Saint-Lazare à la demande des frères Trudaine. Ici le poète est représenté à mi-buste , les bras croisés, regardant le spectateur. Son front est plus largement dégarni que dans le portrait de Suvée, les traits restent réguliers mais l'expression est peut-être ici plus pénétrante.

An 3 de la République, 1795 (Terreur)

propriété de la commune ; ancien fonds ; Carcassonne ; musée des beaux-arts

1894 entrée matérielle

Collection privée, Société des arts et sciences, 1894, Carcassonne

Carcassonne ; musée des beaux-arts

'Exposition artistique, archéologique et d'art rétrospectif', Carcassonne, 1884, n°109. Bibliothèque Nationale, Paris, 1962, n°147. 'Poètes dans la tourmente', musée des beaux-arts de Carcassonne, Carcassonne, mai-juillet 1994, Archives Nationales, octobre-décembre 1994, (n°47, ill. coul. p.60.) Exposition des chefs d'oeuvres du musée (1938, n° 109)

Catalogue du musée, 1894 (n° 284). Peintures de l'école française 17ème et 18ème siècles, Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2004, (n°77, p.54.)