Paramètres d'affichage

985.10.1151

La famille Chénier (Portrait)

Le peintre, académicien, Pierre-Jacques Cazes eut deux fils (Jacques-Nicolas et Pierre-Michel), quelques oeuvres difficilement attribuables à l'un ou à l'autre sont signées Cazes-fils. Ce dernier se lia dès Constantinople à la famille Chénier, lors du retour de celle-ci à Paris il devint un fidèle du salon de Mme Chénier

France

1848

France ; Carcassonne (lieu de création)

Hauteur en cm 97 ; Largeur en cm 131

portrait collectif (Chénier Louis, famille, homme, femme, enfant, Paris, pont)

Le père et les garçons portent au côté leur épée affirmant ainsi leur prétendue noblesse. Madame Chénier arbore son costume de levantine qui souligne son identité exotique. Les quatre fils, Constantin-Xavier (1757 - 1837), Louis-Sauveur (1761 - 1823), André-Marie (1762 - 1794), Marie-Joseph-Blaise (1764 - 1811), sont encadrés par leur père et leur mère. Leur soeur Hélène Christine (1759 - 1797) se tient vraisemblablement à la droite de Mme Chénier. Ce tableau réunissant toute la famille, en raison de l'âge des personnages, fut sans doute réalisé vers 1773 lorsque la famille se trouva réunie à Paris.

propriété de la commune ; donation ; Carcassonne ; musée des beaux-arts

1938

Collection privée, Etienne Azaïs, 1985., (Tableau par Marie Chénier, épouse Baraud (soeur de Louis), puis Mazières, puis Azaïs.)

Carcassonne ; musée des beaux-arts

Poètes audois dans la tourmente, musée des beaux-arts de Carcassonne, 1994, Archives nationales, 1994-1995, p.39 (n°14) ; La Grèce en révolte, Delacroix et les peintres français, galerie des beaux-arts, Bordeaux, 1996, musée national Eugène Delacroix, Paris, 1996-1997, musée Alexandre Soutzos, Athènes, 1997, p.98 n°7 ; Voltaire et Henri IV, musée national du château de Pau, 27 avril - 30 juillet 2001, p. 84 et 85 (n° 97)

Poète audois dans la tourmente, Musée des beaux-arts, Carcassonne, 1994, Archives Nationales, Paris, 1994-1995. Peintures de l'école française 17ème et 18ème siècles, Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2004, n°27 (p.31 )