207.08.328
pendulette-réveil (à mouvement mécanique)
pendulette glace
BAYARD ; SOCIETE DES ANCIENS ETABLISSEMENTS DUVERDREY & BLOQUEL (usine)
SOCIETE DES ANCIENS ETABLISSEMENTS DUVERDREY & BLOQUEL : ?, 1916 ; ?, 2eme moitié 20e siècle
1956
tôle, embouti, galvanoplastie, vernis, doré, laiton, poli, vernis, verre, verre, taillé
Longueur en cm 15.5 ; Epaisseur en cm 5 ; Hauteur en cm 10.6
marque de fabrique (français, anglais), inscription (anglais)
marque de fabrique, En haut du cadran : BAYARD ; inscription, En bas du cadran : MADE IN FRANCE
Il s'agit d'une pendulette-réveil Bayard glace équipée du mouvement B 615. Le mouvement mécanique est logé dans un boîtier circulaire en tôle emboutie vernie dorée de 6 cm de diamètre. Il est fixé sur une lunette rectangulaire en laiton poli verni doré et mesure 11.2 cm de longueur. Entre le boîtier et la lunette, est insérée une glace rectangulaire aurée (d'aspect rosée) et taillée. L'ensemble repose sur une béquille vernie dorée. Le cadran en métal doré est composé des chiffres arabes dorés en relief et possède deux aiguilles fluorescentes en forme de lance ainsi qu'une aiguille de réveil nickelée. Un cadre doré avec graduation noire en bordure du cadran, indique les minutes. Les points des heures sont fluorescents. Un cadre noir aux contours dorés décore le centre du cadran. Le centre du cadran comporte l'inscription 'BAYARD'
Le modèle B 615 est référencé dans les catalogues Réveils Bayard 1956-57, 1958 page 32 (boîte archives n°7)
France, Haute-Normandie, Saint-Nicolas-d'Aliermont (lieu d'exécution)
mesure du temps
propriété de la commune, achat, Saint-Nicolas-d'Aliermont, musée de l'Horlogerie Aliermontaise
2007
Béhague Alain
Saint-Nicolas-d'Aliermont ; musée de l'Horlogerie Aliermontaise
Pendulette glace équipée du mouvement B 615. Le modèle B 615 est référencé dans les catalogues Réveils Bayard 1956-57, 1958 page 32. C'est un calibre B, appelé Bijou. Après la première guerre mondiale, la Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel se spécialise dans la fabrication du réveille-matin. Cette mutation se fait avec Joseph Bloquel, qui conçoit le réveil Bijou dans les années 1920. Sa particularité tient au fait que son axe de balancier pivote sur deux rubis synthétiques. Ces derniers servent de palier en facilitant le roulement des engrenages. Ils ont un coefficient de frottement des pivots relativement faible, ce qui diminue l'usure du mécanisme. Dans les années 1930, le modèle connaît une évolution avec l'utilisation de la vis acier en remplacement des rubis synthétiques. Ces transformations semblent correspondre à l'apparition du ' Bijou économique ' proposée par Louis Guilbert, à son arrivée comme technicien chez Bayard (Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel) à partir de 1925. Le Bijou économique est conçu pour supplanter le Bijou aux coûts de fabrication trop onéreux. (Source principale, CEPSNA, Les Réveils Bayard, plus d'un siècle de vie aliermontaise, Luneray, Bertout, 1999). Selon les sources à notre disposition, le bijou économique est référencé dans la grille des tarifs des années 1932, 1933, 1934 (Boîte archives N°17). Or, la date de fabrication ne peut être vérifiée en raison de l'absence dans nos collections de documents antérieurs à 1932. Différents modèles de réveil Bijou sont référencés : marque 'Lion', rond, carré, rectangle, ovale, luxe, économique, fantaisie, plastic, pendulette, décagone. Calibre identique pour les objets portant les numéros : 207.08.328 ; 207.08.329. ; Pendulette glace équipée du mouvement B 615. Le modèle B 615 est référencé dans les catalogues Réveils Bayard 1956-57, 1958 page 32. C'est un calibre B, appelé Bijou. Après la première guerre mondiale, la Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel se spécialise dans la fabrication du réveille-matin. Cette mutation se fait avec Joseph Bloquel, qui conçoit le réveil Bijou dans les années 1920. Sa particularité tient au fait que son axe de balancier pivote sur deux rubis synthétiques. Ces derniers servent de palier en facilitant le roulement des engrenages. Ils ont un coefficient de frottement des pivots relativement faible, ce qui diminue l'usure du mécanisme. Dans les années 1930, le modèle connaît une évolution avec l'utilisation de la vis acier en remplacement des rubis synthétiques. Ces transformations semblent correspondre à l'apparition du ' Bijou économique ' proposée par Louis Guilbert, à son arrivée comme technicien chez Bayard (Société des Anciens Etablissements Duverdrey-Bloquel) à partir de 1925. Le Bijou économique est conçu pour supplanter le Bijou aux coûts de fabrication trop onéreux. (Source principale, CEPSNA, Les Réveils Bayard, plus d'un siècle de vie aliermontaise, Luneray, Bertout, 1999). Selon les sources à notre disposition, le bijou économique est référencé dans la grille des tarifs des années 1932, 1933, 1934 (Boîte archives N°17). Or, la date de fabrication ne peut être vérifiée en raison de l'absence dans nos collections de documents antérieurs à 1932. Différents modèles de réveil Bijou sont référencés : marque 'Lion', rond, carré, rectangle, ovale, luxe, économique, fantaisie, plastic, pendulette, décagone. Calibre identique pour les objets portant les numéros : 207.08.328 ; 207.08.329